
Donner aux robots industriels une deuxième vie dans la fabrication additive ? C’est l’objectif de la jeune société Adaxis créée par quatre jeunes entrepreneurs français et suédois. Le logiciel AdaOne, issu du projet européen SoftDream, qu’ils ont conçu, pilote cette transformation originale. « La fabrication additive répond à de multiples besoins, notamment la fabrication de pièces de grandes dimensions. Les machines existent, mais il manquait jusqu’à présent les logiciels », constate Henri Bernard, l’un des cofondateurs d’Adaxis. Les bras articulés du robot, capables de se mouvoir dans toutes les dimensions pour souder ou découper, sont reprogrammés par ce logiciel pour venir déposer de la matière (béton, métal ou des polymères). Créée au début de l’année dernière en Nouvelle-Aquitaine, Adaxis vient de lever 1 million d’euros de financement de pré-amorçage auprès du fonds européen EIT Manufacturing et d’investisseurs de Nouvelle-Aquitaine, notamment Newfund Capital et SkalePark.
www.adaxis.eu
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